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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
-t-il fait passer ? Quelques Auteurs, pour éviter le défaut dont nous venons de parler, sont tombés dans un autre presque aussi g
d’un personnage inconnu, s’écrie : Ah ! voici le dénouement qui nous vient de la boutique d’un orfevre, qui nous arrive par la
and on lui dit que sa fille est chez son époux, & que tout ce qui vient de se passer est réel. Depuis Moliere, nos Modernes
; mais quel d’entre eux en a tiré un dénouement pareil à celui que je viens de citer ? On reconnoît le mérite d’un dénouement, d
plaisir de ses lecteurs est varié. Sganarelle, dans la piece que nous venons de citer, lâche la tirade suivante contre sa perfide
ouement, doit être placé à la fin de la piece ; cependant ce que nous venons de voir prouve combien il est essentiel de rappeller
je le plus de rencontrer à cette heure pour lui conter le bonheur qui vient de m’arriver ? Carinus. Quel sujet de joie a-t-il ?
9. 67. Je pourrois encore citer Aristote, duquel j’ai pris ce que je viens de dire ; mais je me souviens de temps en temps que
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
rtera le coup mortel : Ninias sortant égaré, éperdu, du tombeau où il vient de poignarder sa mere, le fera frissonner & l’ob
chera des larmes. Il est très aisé d’appliquer à la comédie ce que je viens de dire de la tragédie. Les Anciens ont encore confo
action. Je suis bien loin d’être de cet avis. L’action est, comme je viens de le dire, ce qui se passe depuis l’exposition jusq
au dénouement est la plus essentielle. On peut juger, par ce que nous venons de dire, combien il est difficile de donner aux inci
3 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
e un soufflet à un autre serviteur qu’il croit coupable du tour qu’on vient de lui jouer. Il court au buffet, prend une assiette
t qu’il voudrait souper à l’instant pour aller au rendez-vous qu’elle vient de lui donner. Don Juan prend feu là-dessus, et lui
ins pour montrer quelle a vingt ans. « — Et la signera Lisetta ? — Je viens de chez elle, répond Arlequin, et ne l’ai pas trouvé
nds seigneurs, irez aussi quelque jour : réfléchissez donc sur ce qui vient de se passer.” « Un dernier tableau montrait Don Jua
sonne que l’arlequinade italienne, telle ou à peu près telle que nous venons de la retracer, était pourtant une transition presqu
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
s, soit dans la société, que dans des cas approchants de ceux dont je viens de parler. « Il y a des caracteres ridicules dont la
finit la parade intitulée avec raison, Isabelle grosse par vertu. On vient de voir comme une méprise peut rendre une piece ou u
uvais soupçons que l’on vouloit insinuer à votre égard. Ma belle-sœur vient de vous quitter ; elle vous aura dit sans doute des
engagent A m’accabler encor d’un si cruel refus. Hélas ! tout ce qui vient de ce qu’on n’aime plus Dégénere en offense, & s
liere sentoit tout le prix des méprises. En détruisant celle que nous venons de citer, il en fait tout de suite naître une autre.
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
brisé les fers de ton maître. Philocrate. J’ai fait tout ce que vous venez de dire, & j’ai bien de la joie que vous vouliez
de St. Médard. Mais embellir n’est point créer26. D’après ce que vous venez de lire, Auteurs tragi-comiques, ne vous flattez plu
ils ont voulu le reprendre ils y ont été vomitifs. Ils n’ont pas fait venir de bons acteurs Italiens à mesure qu’ils en ont eu b
pour vous les atteintes cruelles. (A Philaminte.) L’une pour vous me vient de votre Procureur. (A Chrisale.) L’autre pour vous
vous me vient de votre Procureur. (A Chrisale.) L’autre pour vous me vient de Lyon. Philaminte. L’autre pour vous me vient de
L’autre pour vous me vient de Lyon. Philaminte. L’autre pour vous me vient de Lyon.Quel malheur Digne de nous troubler, pourroi
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
érales et sur le langage. — Mots qu’elle élimine de la langue. Nous venons de passer en revue une nombreuse société qui n’est p
sérables préventions d’une bourgeoisie toujours émerveillée de ce qui vient de ce côté. Et tandis que les mauvaises mœurs et le
ui un peu vieilli, était-il nouveau du temps de Molière ? C’est qu’il venait de se faire un changement dans la langue, c’est que
7 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [83, p. 127-128] »
qu’elle ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges que Boileau venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte
gnant qu’elle ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
De celle qu’à présent on trouvera chez vous. Valere confesse qu’il vient de donner sa foi à Isabelle, qu’Isabelle vient de lu
Valere confesse qu’il vient de donner sa foi à Isabelle, qu’Isabelle vient de lui donner la sienne ; il nomme bien distinctemen
t, que je crois mes lecteurs de mon sentiment sur les exemples que je viens de citer, je vais leur avouer mon secret, & leur
e vraisemblance qui regne dans ce qui les fait naître. Tout ce que je viens de rapporter est une suite du mensonge qu’Isabelle a
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
tre serviteur : il faut que vous me fassiez raison de la santé que je viens de vous porter. Ah ! de tout mon cœur ! Buvez donc.
emarqué qu’un homme vivement affecté d’un bonheur ou d’un malheur qui vient de lui arriver, se plaint où se félicite tout haut,
herche un monologue fait par un personnage qui éprouve tout ce que je viens de dire, & qui puisse me servir de triple exempl
our nous ! Tout va se décider... Il n’obtient pas sa grace ; Son pere vient de faire une laide grimace... Un moment... Je renais
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29
met en fuite les Philistins avec ce vil instrument. Les efforts qu’il vient de faire lui causent une soif si ardente qu’il croit
ompté ma fureur ; La douceur de ses yeux a passé dans mon cœur : Elle vient de verser dans mon ame charmée Le desir de la gloire
is ; ils font voir seulement que les Auteurs des deux pieces que vous venez de citer l’ont traité mal. Il n’y a qu’à supprimer l
endre. Adieu. Que de beautés ! que de traits sublimes dans ce que je viens de transcrire ! Il faut s’écrier à chaque instant, a
leurs, dans le moment où je relis ce chapitre, le 14 Juillet 1771, je viens de voir sur le bureau d’un homme de goût un manuscri
11 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
ulvio survient après lui, et dit tout le contraire de ce que le valet vient de dire, de sorte que Mezzetin s’écrie : Signor, ho
elia ; il dit à Mezzetin de remettre la jeune fille à la personne qui viendra de sa part et montrera son anneau. Cintio est le fil
ettre de crédit. Scapin, qui a entendu les conventions que l’étudiant vient de faire avec Mezzetin, feint d’être brouillé avec F
12 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
lui voyez résolu cependant à se mettre en ménage ; plus préoccupé, je viens de vous dire qu’il est désintéressé, des garanties q
, nommé Horace, débarque à Paris. Qu’est-ce que c’est que Horace ? Je viens de vous le dire : un jeune homme. Et tenez, si vous
e penche sur l’oreille d’Arnolphe et lui raconte la bonne fortune qui vient de lui arriver. Il a besoin d’un confident. Est-ce q
s qui s’expliqueront eux-mêmes devant vous. Comment ? En vivant. Vous venez de voir cette entrée triomphante d’Horace ; voyons m
a pensée de la comédie : l’amour est le privilège de la jeunesse. Je viens de vous indiquer, mesdames et messieurs, une manière
op loin à mon tour et verser de l’autre côté. Du rapprochement que je viens de faire entre Arnolphe et George Dandin, je ne veux
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
te pas. Scene VII. La Montagne. Monsieur, Orphise est seule, & vient de ce côté. Eraste. Ah ! d’un trouble bien grand je
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Va-t’en faire venir ceux que je viens de dire, Pour les mettre en embûche aux lieux que je
u’en les copiant j’en ai retranché la moitié sans toucher, comme l’on vient de le voir, aux ressorts nécessaires pour faire mouv
Il confond les pieces de ce genre dans la classe des pieces dont nous venons de parler ; elles se ressemblent en effet par bien d
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
u moins à démasquer le héros. Dans cette même piece du Joueur, que je viens de citer, nous voyons une Comtesse & un Marquis
es, & s’arrêtant au bout de quelques phrases. Qheu... qheu... Je viens de me mettre au lait à une de mes terres. Les veille
embonpoint à une piece à caractere, bien supérieure à celle dont nous venons de parler ; il faut pour cela faire une étude partic
rincipal personnage a deux caracteres tout-à-fait opposés, comme nous venons de le remarquer. De là ces pieces encore, auxquelles
15 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
les fussent bonnes, ont été condamnées par les mêmes raisons que vous venez de dire, ceux qui connaissaient la bonté de ces pièc
défendu de dire ce qu’il savait. Je ne ferai point comme ceux dont on vient de parler, qui louent et qui blâment excessivement.
îtres de ce bel Art pourront difficilement imiter. — Tout ce que vous venez de dire est véritable, repartit Clorante ; mais si v
parle à la Campagne beaucoup plus que de toutes les Pièces dont vous venez de m’entretenir. — Aussi, me repartit Clorante, est-
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
s. Baron a évité, dans son Homme à bonne fortune, le défaut que nous venons de reprocher à Moliere. Lucinde est éprise de Moncad
pour toute réponse, lui dit de porter à sa maîtresse l’agraffe qu’on vient de lui donner. Dans la scene X, il fait part à Pasqu
mais il ne doit jamais le faire aux dépens de sa gloire. Ce que nous venons de dire sur la gradation des situations, nous épargn
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
l doit certainement ses plus grandes beautés à l’un des contes que je viens de rapporter. Il ne pouvoit pas mettre sur la scene
Et vous, Monsieur... Cléon, laquais de Mélante. Monsieur, votre oncle vient de mourir. Mélante. Est-il possible ? Cléarque. Qu’e
 ! mon pere, ne vous emportez pas contre Mélante après la perte qu’il vient de faire, &, s’il est encore dans la résolution
18 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
sage de l’Emilia, où Polidoro — aussi bien qu’Anselme — annonce qu’il vient de recevoir de l’argent ; à l’acte III, sc. 1 à 4, M
pénétrer chez Manille afin d’entretenir librement Lucinde. Il prétend venir de Tunis, comme Lisandre de Tunis, d’Alger, de Jaffe
un marchand, qui avait vu ce fils à la fin de son esclavage ; et nous venons de voir qu’un marchand de ce genre était mentionné d
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
e-sœur. Pourquoi cela ? la raison en est toute simple. Si, comme nous venons de le voir, les caracteres ne se développent que par
t. Oh ! qu’un amant novice est fade & ridicule ! Le Marquis. Vous venez de tomber dans les réflexions. Céliante. Je méditois
n. Madame, il vous sied mal de prendre ce ton-là ; Et l’air dont vous venez de parler à mon frere, Me fait mal augurer de votre
moins être entretenu quand il ne le voit pas. Dans la piece dont nous venons de parler, il n’est seulement pas question de lui du
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
ire contraster avec ceux d’un autre. Quelle erreur, grands dieux ! On vient de voir que dans l’Avare, Harpagon seul a un caracte
rsque le caractere vicieux est principal, comme dans l’exemple que je viens de citer. « La premiere scene du Misanthrope est cep
du dernier est beaucoup plus bruyante, voilà tout. Les vers que nous venons de lire me confirment dans mon idée, & me font c
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
e. La Dama est dans la plus grande misere. Il Cavaliere lui dit qu’il vient de jouer heureusement, qu’il l’a associée à son jeu,
tions sont certainement bien dignes de figurer parmi celles dont nous venons de parler ; mais les uns veulent garder l’anonyme, l
s de chaque moderne. Nous n’avons donc qu’à réfléchir sur ce que nous venons de lire, & nous nous rappellerons aisément que n
22 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
traits dignes de Boileau lui-même. Il suppose que ce grand satirique vient de mourir du chagrin que lui a causé le mauvais succ
ttre en gage par Valère le portrait de sa maîtresse à l’instant où il vient de le recevoir, est d’un auteur qui a parfaitement s
d’autant moins, que cette scène rappelait une aventure semblable, qui venait de se passer en réalité. Mais il y a loin d’un testa
crite et le Distrait soient de la même force que les ouvrages dont je viens de parler, qui sont les chefs-d’œuvre de Regnard. Je
eux de la sienne, oublie qu’elle est sa femme, à l’instant même où il vient de l’obtenir. La distraction est un peu forte, et la
est la plus comique, sont la femme contrariante dans la pièce que je viens de citer, la veuve du Double veuvage, la coquette de
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
été mal vu des yeux qui l’ont fait naître ; Mais Léandre à l’instant vient de me déclarer Qu’à me ravir Célie il se va préparer
exemples bien loin, finissons de lire la scene des Précieuses que je viens de citer plus haut. Scene I. Du Croisy. Il me semb
puis certain chagrin d’une affaire qui m’arriva. D’après ce que nous venons de dire, il est clair qu’il ne faut pas peindre un p
rsonnages & des portraits qui sont étrangers au sujet, comme nous venons de le remarquer, mais encore de tous les détails, à
ouffrirons-nous que ce malheur arrive à celui qui, comme tu m’as dit, vient de prendre mon parti avec tant d’honnêteté ? tâchons
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. Nous venons de voir dans les derniers Chapitres quelles sont les
e qui le touche. Il ne seroit pas à propos qu’on entendît ce que vous venez de dire ici de lui. M. de Cornichon. Je comprends. C
son écuyer. . . . . . . . . . . . . . M. de Cornichon. Sur ce que tu viens de me dire, il doit être bien endetté. La Branche. P
de ses secrets à une seule, le caractere est manqué. Malgré ce que je viens de dire, le Défiant seroit le caractere que je chois
cette Piece, & il la fit tout seul de la maniere heureuse que je viens de la faire réimprimer. Je n’y eus d’autre part que
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336
iles, parcequ’un Auteur n’a pas avec eux tous les avantages dont nous venons de parler, qu’il a besoin de prendre le ridicule sur
le suffrage des connoisseurs : c’est ce qui fait survivre, comme nous venons de le dire, les Précieuses de Moliere aux héroïnes d
26 (1802) Études sur Molière pp. -355
uite, l’on a. l’intrépidité de nous parler de ce récit, comme si nous venions de l’entendre : Au nom de Zanobio Ruberti, que sa v
le public a la… bonhomie d’applaudir avec le même discernement qu’il vient de battre des mains, scène xii , lorsque Mascarille,
re, sous le nom de Léonore ; mais, un instant après, Valère dit qu’il vient de donner sa foi à Isabelle, qu’Isabelle vient de lu
près, Valère dit qu’il vient de donner sa foi à Isabelle, qu’Isabelle vient de lui donner la sienne ; il nomme bien distinctemen
t, tantôt dans une armoire, et le mari, toujours averti du tour qu’on vient de lui jouer, fait mettre le feu à sa maison ; il or
ace, avec l’étonnement de son rival sans cesse averti des tours qu’on vient de lui jouer, et dont il a cru se garantir. Les mon
puisqu’il faut le nommer. Un mot sur le protecteur de la pièce. Nous venons de voir dans la pièce même, qu’elle parut d’une mani
XIV, et l’Histoire des théâtres dit en propres termes : « Ce roi qui venait de se déclarer le protecteur de Molière, fut indigné
s de neuf à dix ans, était dans la troupe de la Raisin, à qui Molière venait de prêter sa salle par humanité : il vit le jeune co
cette épitaphe : Turbâ se medicorum, periisse. D’après ce que nous venons de voir, voilà encore une comédie qui, grâce à quelq
ui est adressée, Boileau eut dit : Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire, Il plait à tout le monde et ne saurait se
admirateurs de l’Alceste qui, non content de faire la faute dont nous venons de parler, la double en parodiant, dans la même scèn
nder où sont les véritables Dorine ? J’ai trouvé, dans celle que nous venons de voir, toute l’allure d’une confidente dégourdie.
contraire en riant, et disait, du ton le plus dissuadé d’avance : On vient de débiter, madame, une nouvelle Que je ne savais pa
pçonneux, à qui tous les prestiges de la coquetterie la plus raffinée viennent de promettre une victoire complète, confondra les em
yeur s’évade. D’après ce dernier vers, les fameux comédiens que nous venons de citer, ont constamment laissé Jupiter et Alcmène
ute beauté, si nous le démêlons à travers le récit du roman dont nous venons de parler, et les lazzis de maître Jacques ; si nous
hée derrière la porte, entre, la referme, monte vite à la fenêtre que vient de quitter son crédule époux, l’accable de reproches
’il s’avoisinait un peu de l’intrigue héroïque de Don Sanche. » Nous venons de lire Les Amants magnifiques, et nous ne reprocher
ne peut satisfaire entièrement le spectateur. Le dénouement. — Nous venons de le juger71. Le Bourgeois gentilhomme. Ce
ans, qui tous, d’une voix, répétaient tant bien que mal ce que le roi venait de dire de l’ouvrage. Cet homme-là est inimitable, d
que M. Jourdain prête seulement sa maison ; celui-ci confirme ce que vient de dire le comte : rien de tout cela qui ne soit rai
ntement dans la salle où dîne la compagnie, comme une gouvernante qui vient de vaquer aux apprêts du dîner, et Jourdain ne confi
elles fait semblant de rire, qu’elles se roulent sur les planches. On venait de reprendre Le Bourgeois gentilhomme, un habitué, q
Je n’ai rien rencontré de plus ingénieux. La critique à laquelle je viens de répondre est de Bussi Rabutin, et Bret convient q
sont très rares, l’on distingue ceux qui, aux deux qualités dont nous venons de parler, réunissent la plus nécessaire, la vraisem
u reste, le rôle de Béline n’est pas dans la classe de ceux dont nous venons de parler. L’élève. Ne le voyez-vous pas jouer tous
vous en a tant appris ? L’élève. Madame Bellecour, que par malheur je viens de perdre, et qui m’avouait franchement tenir tout c
décédé sans avoir reçu le sacrement de confession dans un temps où il venait de représenter la comédie, monsieur le curé de Saint
ses, et qui, dans un nouvel Élysée, dans le jardin du Musée français, vient de leur élever deux autels voisins l’un de l’autre.
ppelé Zacarie, mais quand on le vit varier, animer le récit dont nous venons de parler, avec tout l’art dont il était capable, un
ès l’autre, puis les rend à son valet, sans effectuer la menace qu’il vient de lui faire, ha ! je te casserai la tête assurémen
ur l’autre. 69. Ferme les yeux Thalie, le meilleur de nos Harpagons vient de substituer au mouchoir de Molière un morceau de t
27 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
nt l’initiative et réclament leurs parts de l’honneur national. Ainsi vient de s’élever sur le pont du petit village de Mausé2,
xpira le 17 février 1673, en sortant du théâtre du Palais-Royal où il venait de représenter pour la quatrième fois le personnage
Enfin le jour de la justice approchait. Le conseil municipal de Paris venait de voler la construction d’une fontaine à l’angle de
adressée à M. de Rambuteau, préfet de Paris, que la fontaine, dont on venait de décider l’érection, se trouvait placée à la proxi
ertains d’intelligence : elles disent qu’une idée, ou qu’un sentiment vient de pénétrer dans la foule : elles sont grandes et pu
it dans les journaux du 7 juillet 1843 :« Le célèbre sculpteur Haenel vient de terminer les modèles de trois statues colossales,
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
née. Ne songeons désormais qu’à vous dédommager De la faute où ce jeu vient de vous engager. . . . . . . . . . Pour cela je pers
t les yeux : qu’ils m’aident à me vaincre. Il faut se faire aimer, on vient de m’en convaincre ; Et je sens que la gloire &
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
ur comique le plus généralement estimé ; il faut donc, si ce que nous venons de dire est vrai, qu’il soit après Moliere celui qui
i : il se fouille néanmoins, & tire celle de l’Evêque de ** qu’il vient de quitter, qu’il a trouvé malade auprès de son feu,
la remettre où il l’a prise : il entend aboyer dans son armoire qu’il vient de fermer ; étonné de ce prodige, il l’ouvre une sec
rrive, à qui il demande fiérement d’où il vient : il lui répond qu’il vient de l’endroit où il l’a envoyé, & lui rend un fid
es n’en ont point coup sur coup, sur-tout dans l’instant même où l’on vient de rire d’elles & de les plaisanter sur leur abs
t être vrai pour de serviles ames Qui trafiquent un cœur... Regnard vient de nous fournir des armes contre lui dans la réponse
er exemple qui se présente, ne le négligeons point. L’aventure que je viens de rapporter est très vraisemblable dans toutes ses
30 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
e faisons qu’indiquer ici, se trouve aux articles des pièces que nous venons de nommer ; et nous espérons que le lecteur sera sat
’on voit un homme de qualité faire au Misanthrope les civilités qu’il vient de blâmer, et qu’il faut nécessairement, ou qu’il dé
il me répliqua que cela paraissait incroyable, mais que tout ce qu’il venait de me dire était très véritable, n’ayant aucun intér
évenir des personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer, pourraient l’altérer dans leur récit, et d
t très peu de choses. Nous allons rapporter les deux pièces dont nous venons de parler.       [*]Ornement du théâtre, incomparab
confondre les deux scènes de L’Amour médecin et du Sicilien, que nous venons de citer, avec d’autres qui y ont quelque rapport. C
multitude. » Lettre en vers de Robinet du 15 août 1666. Un médecin vient de paraître, Qui d’Hippocrate est le grand maître, …
 1666, fut suivie d’une pastorale comique », etc. Cependant, comme on vient de le voir dans la troisième entrée du Ballet des Mu
elle fut jouée, personne ne la faisait mieux valoir que celui dont je viens de parler, et qui pourtant aurait pu s’en fâcher, un
l’argent qu’il lui fait acheter si cher. « Malgré les défauts que je viens de remarquer dans L’Avare de Molière, et malgré ceux
e septième du même acte se trouve dans Le case Svaliggiate, dont nous venons de parler ; et que les scènes quatrième et cinquième
t, comme les scènes du théâtre italien, jouées à l’impromptu, dont je viens de parler, ne sont pas imprimées, et qu’il serait di
u vrai dévot. J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. Il ne tient pas un seul moment l’au
é cultivés avec autant de soin que lui. « Dans le même récit que nous venons de rapporter de la comédie d’Élomire hypocondre, l’a
est Du Croisy et La Grange qui s’engagèrent avec Molière, ainsi qu’on vient de le voir à la fin de la note précédente. b. « [*
ent de l’ordre du roi, de sorte que réfléchissant sur la faute qu’ils venaient de faire, ils se retirèrent. Le bruit et les cris av
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
che ; celui qui le consulte sur l’air & les pas d’un ballet qu’il vient de composer ; Alcandre qui le prie de lui servir de
et. Dans votre chambre à alcove, Madame... Il compose un thême que je viens de lui dicter sur une Épître de Cicéron. La Comtesse
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
e ! Monsieur, reprit le Comte en baissant la pointe de son épée, vous venez de m’assurer trop affirmativement, que je ne vous ap
ande pardon de mes emportements : lavez dans mon sang la faute que je viens de commettre ; je n’en murmurerai point, pourvu que
dont la Parque respecte encore les jours.   Grace à la revue que nous venons de faire dans ce volume, les Comiques qui ont figuré
33 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
t aux conversations que Gassendi conduisait avec les personnes que je viens de nommer. Et comme ce même Cyrano était très avide
des petites Comédies était perdu. Le divertissement que cette Troupe venait de donner à sa Majesté, lui ayant plu, Elle voulut q
ur moi. ―  Eh ! bien, lui dit Molière, c’est une chose faite, le Roi vient de m’accorder un ordre pour vous ôter de la Troupe o
nt sur l’ordre du Roi. De sorte que réfléchissant sur la faute qu’ils venaient de faire, ils se retirèrent. Le bruit, et les cris a
taient déjà dans l’eau, et les repêchèrent. Indignés du secours qu’on venait de leur donner ils mirent l’épée à la main, courent
grâce entière à ce maraud-là en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vo
il se trouvait dans des situations aussi désagréables que celle où il venait de le voir : qu’il était bien fâcheux qu’une personn
elle fut jouée, personne ne la faisait mieux valoir que celui dont je viens de parler, et qui pourtant aurait pu s’en fâcher, un
de la déclamation. Il avait contracté par habitude le hoquet dont je viens de parler : Dans les commencements qu’il monta sur l
isans, qui tous d’une voix répétaient tant bien que mal ce que le Roi venait de dire à l’avantage de cette pièce. ―  Cet homme-là
n était aperçu, il se fit un effort, et cacha par un ris forcé ce qui venait de lui arriver. Quand la Pièce fut finie il prit sa
umière ; voici, dit-il, du changement . Baron ayant vu le sang qu’il venait de rendre, s’écria avec frayeur. —  Ne vous épouvant
es hommes illustres, ne doivent plus laisser lieu de douter que je ne vienne de le peindre tel qu’il était ; et plus les temps s’
ais il divertissait tour à tour les trois sortes de personnes dont je viens de parler ; et comme ils voyaient ensemble ses ouvra
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
t, dit-il, la lettre que pour obéir à Dona Elvire, & voit qu’elle vient de Dona Ignès, qui fait part à son amie des chagrins
dit qu’elle ne sera peut-être pas toujours aussi complaisante qu’elle vient de l’être. Le Prince promet d’abjurer ses mouvements
x affronts que tu fais à ma gloire par ces offensantes injures que tu viens de proférer contre moi. Non, ton discours n’est poin
e jusqu’ici ; ce n’est pas en un mot cette Delmire qui t’adore que tu viens de peindre, c’est un monstre vomi par l’enfer, c’est
mbeau. Ils font une scene d’équivoque, le Roi est désespéré de ce qui vient de lui arriver, & Arlequin le croit fâché de l’a
35 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
raison. Nous savons bien que cette médaille a son revers, et le temps viendra de le montrer ; mais comment ne pas s’arrêter d’abor
ement de soi-même : or, Alceste n’en est pas là. L’erreur de Rousseau vient de ce que, dans son orgueil et sa sauvagerie, il se
gauloise qui sont les privilèges du genre. Ceux à qui Molière « fait venir de coupables pensées » peuvent toujours se tenir à l
davantage lorsqu’il lui fait dire : Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de Rome : La terre et le travail de l’homme Font pou
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
écus en billets au porteur ; Cette lettre, Que dans le moment même on vient de me remettre, En est un sûr garant. Bavardin. En
onnade. Le Barbier prie Arlequin de lui pardonner le traitement qu’il vient de recevoir, lui dit pour quelle raison il le lui a
te folle, à qui ton nom savant en impose. Théophraste & Dortidius viennent de me communiquer un projet excellent qui achevera d
37 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
e la premiere Scene & pour l’exposition de toute la Piece dont je viens de parler, de la Satyre IX du premier livre d’Horace
évenir des personnes, qui trouvant ce passage dans le volume que l’on vient de citer, pourroient l’altérer dans leur récit, &
Scene 7me. du même Acte se trouve dans le Case Svaliggiate, dont nous venons de parler ; & qu’enfin la seconde & la trois
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
ine générale ; sinon c’est un défaut essentiel. Dans l’exemple que je viens de citer des Femmes Savantes, ce que fait Clitandre
sant, au second du Tartufe. ACTE II. Scene IV. Marianne & Valere viennent de faire une scene de dépit qui a augmenté leur amou
n sonne de l’intérieur ; un laquais arrive au coup de sonnette. Betty vient de l’appartement de sa maîtresse en pleurant, &
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
en avait déjà de l’inquiétude et en marquait au roi. La lettre qu’on vient de lire chargeait madame de Saint-Géran de faire une
ement de peines pour la gouvernante que la mort de madame la duchesse venait de soulager. Dans le mois de septembre, le roi donne
40 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
: va, ma colère cesse, Et ce petit archer, qui dompte tous les dieux, Vient de chasser la mort qui logeait dans mes yeux. Ces p
: dans le Tartufe, relisez toute cette admirable scène où deux amants viennent de se raccommoder, et où l’un des deux, après la pai
porte peu où il se fasse, pourvu qu’on l’entende. Les défauts dont je viens de parler disparaissent au milieu du bon comique et
d’où vient qu’il est pris de cette fantaisie ? ALAIN. Cela vient cela vient de ce qu’il est jaloux. GEORGETTE. Oui ; mais pourqu
st indigné de tous les traits de médisance que Célimène et sa société viennent de lancer sur les absents, sur des gens qu’ils voien
et rigoureux, et non plus un personnage de comédie. Mais Molière, qui vient de montrer ce qu’il a de bon, fait voir sur-le-champ
vous la faiblesse jusqu’à lui pardonner toutes ses intrigues que vous venez de découvrir, et vouloir prendre pour votre femme ce
à ranger le Bourgeois gentilhomme dans le rang de ces farces dont je viens de parler. J’abandonne volontiers les deux derniers
eux qui ne font que des comédies; car d’ailleurs ce sujet, tel que je viens de l’exposer, pourrait frapper les faiseurs de drame
importante et plus directe : et quelle comparaison de la prose qu’on vient de lire à des vers tels que ceux-ci ! Oui, mon frèr
41 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
z Mme de la Sablière h la composer en commun. M. Frédéric Hillemacher vient de publier, chez Lemerre, la cinquième édition de l’
conférences à la faculté des lettres de Paris, M. Gustave Larroumet, vient de la plaider à nouveau dans la Revue des Deux-Monde
jeter quelques doutes sur la solidité de la vertueuse hypothèse qu’on vient de lire. Joignez la commune renommée, qui compte bie
uire là un théâtre. Mais bientôt la division se mit entre eux, et ils venaient de céder leur privilège a Henri Guichard et a Jean d
le trône de France et soupirait pour le roi. Un jour que la princesse venait de sortir de sa chambre pour passer dans son cabinet
la terreur du poison. Les crimes de la marquise de Brinvilliers, qui venait de se réfugier à l’étranger, étaient divulgués, et,
sont le fondement de l’opinion adoptée par les investigateurs dont on vient de parler et qui relatent la tradition à laquelle il
vante : Deux mots à M. Loiseleur, à propos de Molière. M. Loiseleur vient de publier dans le Temps une nouvelle série de ses s
écédé sans avoir reçu le sacrement de confession, dans un temps où il venait de représenter la comédie ; mais elle ajoute aussitô
ient à eux seuls pour justifier l’exactitude des appréciations que je viens de présenter. L’Église a toujours admis les pécheurs
nse n’est pas de nature à faire bien augurer du rapprochement dont je viens de parler. « J’ai pu, m’écrit-il, examiner à loisir
genre de services qu’elle a pour but de rémunérer ; mais celui qu’on vient de découvrir contient sur ce point une énonciation f
42 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [82, p. 127] »
e seule branche de l’avarice, il les a embrassées toutes. 277. Elle vient de l’ouvrage de Jean François de Cailhava, L’Art de
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
s leurs bonnes prieres, ils furent reconnus de ce gentilhomme dont je viens de parler, qui, s’échauffant d’un zele chrétien, &am
, quoique vous ne le méritiez pas : mais la cruelle froideur que vous venez de me faire voir, me dit clairement que je ne suis p
Don Diegue dans Mariane & Valere. ACTE II. Scene IV. Valere. On vient de débiter, Madame, une nouvelle Que je ne savois pa
prouverai dans la suite par Scarron, l’Auteur de ce même roman que je viens de citer36. Il indique dans toutes ses Nouvelles des
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
gere, mariée avec Octave, se trouve la fille même que Géronte faisoit venir de Tarente. On reconnoît dans cette piece Térence à
les ait point vus en France que cela, que sait-on s’ils ne sont point venus de Constantinople jusqu’ici entre deux eaux ? Paquie
suffira de dire que chaque piece de son accoûtrement est une antique. Venons de l’étoffe à la doublure, de la gaine à l’épée, &am
us faire moins de plaisir que Zerbinette : premiérement, parcequ’elle vient de dessein prémédité dire des injures à Granger ; la
. . Dans Térence, Géta répete ou parodie simplement ce que Démiphon vient de dire : Moliere a senti combien une idée retournée
mais Scapin rend la scene françoise bien meilleure par l’idée qui lui vient de contrefaire le pere. De cette façon l’illusion au
45 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
mple des recherches qu’un commentateur ne doit faire que pour lui. Je viens de montrer quelques parties de ces échafaudages néce
ne v de l’acte IV de l’Etourdi, Mascarille reproche à son maître, qui vient de dîner chez Trufaldin, d’avoir fait mille impruden
t aux conversations que Gassendi conduisait avec les personnes que je viens de nommer. Et comme ce même Cyrano était très avide
petites comédies était perdu54 ‌. Le divertissement que cette troupe venait de donner à Sa Majesté lui ayant plu, elle voulut qu
pour moi. — Hé bien ! lui dit Molière, c’est une chose faite ; le roi vient de m’accorder un ordre pour vous ôter de la troupe o
sur l’ordre du roi ; de sorte que, réfléchissant sur la faute qu’ils venaient de faire, ils se retirèrent. Le bruit et les cris av
taient déjà dans l’eau, et les repêchèrent. Indignés du secours qu’on venait de leur donner, ils mirent l’épée à la main, courure
je fais grâce à ce maraud-là en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vo
il se trouvait dans des situations aussi désagréables que celle où il venait de le voir ; qu’il était bien fâcheux qu’une personn
elle fut jouée, personne ne la faisait mieux valoir que celui dont je viens de parler, et qui pourtant aurait pu s’en fâcher, un
de la déclamation. Il avait contracté par habitude le hoquet dont je viens de parler. Dans les commencements qu’il monta sur le
ans, qui tout d’une voix répétaient, tant bien que mal, ce que le roi venait de dire à l’avantage de cette pièce. « Cet homme-là
n était aperçu, il se fit un effort, et cacha par un ris forcé ce qui venait de lui arriver. Quand la pièce fut finie, il prit s
ère : « Voici, dit-il, du changement. » Baron, ayant vu le sang qu’il venait de rendre, s’écria avec frayeur. « Ne vous épouvante
es hommes illustres, ne doivent plus laisser lieu de douter que je ne vienne de le peindre tel qu’il était ; et plus les temps s’
ais il divertissait tour à tour les trois sortes de personnes dont je viens de parler ; et comme ils voyaient ensemble ses ouvra
omme-là ferait rire des pierres. » Indépendamment des rôles que nous venons de citer, Brécourt jouait supérieurement ceux de l’A
ens de l’auteur (sic), et se rend à Paris chez J. Ribou, 1669. 2. On vient de représenter à l’Odéon, en l’attribuant à Molière,
, page 221.) Une anecdote racontée par Boileau confirme tout ce qu’on vient de lire. Racine avait confié à Floridor le rôle de N
onnages ; et Benserade, de chagrin, avait fait la plaisanterie que je viens de citer. Molière, pour s’en venger d’une manière no
décédé sans avoir reçu le sacrement de confession dans un temps où il venait de représenter la comédie, monsieur le curé de Saint
gnant qu’elle ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte
46 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
cott écrivit sur Molière, à propos de la biographie que M. Taschereau venait de publier. Il l’appelle, à plusieurs reprises, le p
li nombre de chefs-d’œuvre, la jolie page de M. Louis Veuillot que je viens de citer tout à l’heure. Pour connaître le monde et
l’a pas encore convaincu ; il continue donc, se rattachant à ce qu’il vient de dire, à l’aide d’une préposition conjonctive : pa
es un passage qui est le désespoir des comédiens : Chrysale, que l’on vient de forcer à renvoyer la pauvre Martine, finit par dé
tirées du jeu ont été nobles au siècle de Louis XIV, comme celles qui venaient de la chasse, de la guerre et de l’écurie. C’est qu’
? Je lisais, ces jours derniers, un volume que M. Camille Saint-Saëns vient de faire paraître sous ce titre Harmonie et Mélodie.
un concours fâcheux de circonstances impossibles à prévoir ; d’autres viennent de la stupidité de celui qui les commet ; d’autres d
la pensée Je causais avec M. Gustave Larroumet, celui-là même qui vient de donner une édition des Précieuses ridicules, édit
arlé à nos lecteurs de cette binette dont j’ai gardé l’exemplaire. Je viens de la relire. Molière, avec cet instinct de mesure q
quelques vestiges épars du premier travail. M. Anatole de Montaiglon vient de mettre à néant cette légende. Pour lui, Le Sicili
poètes à la mode.) Geoffroy développe ingénieusement les points qu’il vient de toucher. Il ne souffle mot de ce qui est aujourd’
; l’intelligence a beau se débattre et protester ; jamais plaisir n’y vint de la réflexion seule. C’est pour George Dandin que
bourgeois gentilhomme sans soupçonner que le plus clair de sa fortune vient de lui ; elle ne songe qu’au mariage, qui raccommode
adition. Il en va de même d’une autre phrase que j’aime moins. Scapin vient de donner à ses deux jeunes maîtres l’argent qu’il a
avantes » Qu’est-ce que c’est qu’une forme dramatique ? Tenez, on vient de nous jouer, à l’Odéon, Les Femmes savantes. — Eh
tirade du second acte, où Chrysale, poussé à bout par Philaminte qui vient de chasser Martine pour un maigre sujet, éclate enfi
encore lui qui, voyant Clitandre empressé autour d’Henriette, dont on vient de lui accorder la main, s’écrie :                 
armant que l’aimable Henriette ! Elle n’a ni l’ingénuité d’Agnès, qui vient de l’ignorance, ni cette ingénuité trompeuse sous la
scussion avec plus de fruit. Au moment où elle débute, Clitandre, qui vient de dire inutilement beaucoup de mal de Trissotin, so
’y avait pas un temps d’arrêt, une modulation. Clitandre, impatienté, vient de dire : Oui, si l’on s’en rapporte à ces certains
ous l’avez oublié, la lettre qui suit vous le remettra eu mémoire. Je viens de la recevoir ; elle est de Coquelin cadet lui-même
illerait pas favorablement dans ces deux chefs-d’œuvre de Molière. Je viens de faire un voyage en Russie, en Roumanie et en Serb
aie ; ces vers-là pétillent chez Regnard. Finette dit à Ménechme, qui vient de lui dire des insolences : Ah ! ma foi ! si jamai
malsain, de cette bouffonnerie qui se joue dans une maison où la Mort vient de passer. Molière, je le répète, n’aurait pas commi
l’Araminte des Fausses Confidences, quel est donc ce jeune homme qui vient de nous saluer si gracieusement sur la terrasse. Il
s’est plu à le dire. Chacun, après tout, a sa façon de s’exprimer qui vient de sa façon de sentir ; et c’est lui-même qui a dit
voulu appuyer de preuves empruntées aux documents originaux ce que je viens de vous dire ; ma lettre est déjà beaucoup trop long
Lisette, tu ne sais pas, l’autre jour, j’entre chez un monsieur : il venait de faire une querelle à sa femme ; elle avait les ye
elle lui jette des paroles incohérentes, d’une gaîté folle ! — Il me vient de nouvelles idées, lui dit-elle… Et il y a des actr
rté à l’origine. 20 juin 1892. « L’École des mères » L’Odéon vient de reprendre une pièce de Marivaux qui n’avait pas é
ession de la Comédie-Française. Nous sommes en 1848. La fantaisie lui vient de jouer à son tour Araminte, et Théophile Gautier é
our ne pas sortir de Marivaux, prenons encore un exemple. Mlle Judith venait de reprendre Le Jeu de l’amour et du hasard à la Com
semaine à feuilleter la correspondance de Grimm et de Diderot dont je viens de détacher ce passage, et je tombai sur l’article d
et je tombai sur l’article de Grimm consacré au Candide que Voltaire venait de publier sans nom d’auteur. C’était alors une asse
pensez si l’on riait. 31 janvier 1870. II La Comédie-Française vient de remettre à la scène Le Barbier de Séville de Beau
hevé ; personne n’y prend garde. Bartholo, que le comte a embobeliné, vient de lui dire : — Ne serait-il pas à propos que ma pup
es. Elles s’enfoncent sans bruit dans la blessure. On ne les voit pas venir de loin, armées de plumes qui flambaient. Il faut un
duite qu’autorisait la morale accommodante du dix-huitième siècle. Je viens de relire, dans le volume de M. Gustave Desnoirester
la grandeur. Ainsi, tenez, mademoiselle, au troisième acte, Roxelane vient de piquer le sultan par ses badinages ordinaires : i
, s’ils le retranchent. 23 août 1875. II La Comédie-Française vient de reprendre Le Philosophe sans le savoir, de Sedain
47 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [12, p. 43-44] »
par les courtisans, qui répétaient, tant bien que mal, ce que le roi venait de dire à l’avantage de cette pièce.152 152. Cett
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
ours flatteurs, regards, gestes & lorgneries, Ma femme devant moi vient de le répéter, Pour engager Eraste, ou bien pour le
de leurs filles. Je ne me suis engagé ni à faire les comédies dont je viens de parler, ni à fournir les matériaux suffisants ; m
49 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
a légende de Molière n’occupent qu’une faible partie du volume que je viens de relire en épreuves avec autant d’attention que d’
re de son père, qu’en lui déchirant le cœur ? Il fallait encore qu’il vint de nouveau s’attaquer à la bourse de ce marchand éco
Quoique les Poquelin de la branche riche eussent pullulé, comme vous venez de le voir, un siècle après, personne ne survivait d
olière ! L’autre branche, celle qui nous importe le plus, était aussi venue de Beau vais, et sans doute vers le même temps que l
Ovide, est quædam flere voluptas . C’était en 1664. Lamothe-Levayer venait de perdre son fils, qui avait été l’un des meilleurs
. La Béjard l’apprend et revient vite. Les déconvenues d’ambition que vient de subir son amant, lui ont rendu des espérances don
elle du Parc, qui, transfuge ingrate de la troupe de Molière, qu’elle venait de quitter alors pour l’Hôtel de Bourgogne, ne mérit
e mot, que sur-le-champ Molière le lui fait mettre en action. S’il ne venait pas de parler ainsi, on ne comprendrait pas, de sa part,
ne. » Ce qui avait tenté Molière, quand il fit Don Juan, c’était, je viens de le dire, le succès de la pièce des Italiens ; cel
n’eût point été défait, et que son influence pût encore, ainsi qu’on vient de le voir, s’exercer de loin sur le prince de Conti
se donnait encore à ses passions une fougue parfois imprudente. Lenet vient de parler de la dévotion affectée, dont l’abbé Roque
quelque part, qu’il était tour à tour Tartuffe ou Pantalon. Ce qu’on vient de lire rentre dans ce dernier rôle. Voilà ce qu’il
jà représentés à la cour. VIII. Fort des encouragements qui lui venaient de tous côtés, et même, comme vous le voyez, de la p
er une joie de plus, que le roi accorde à Molière la faveur dont nous venons de parler. Racine avait donc bien raison de dire, à
ait dire par Epistenez à Élomire (Molière) 120 : Je vois bien que tu viens de ce riche pays, Où les juifs ramassez demeurèrent
nemis d’Alceste ; l’Oronte du cinquième acte enfin, c’est Racine, qui vient de le trahir et de se jeter, l’ingrat, dans le camp
mieux encore redonné a son esprit le courage et la sérénité : le roi venait de permettre la représentation du Tartuffe. XIV.
’y alla pas lui-même, c’est que peut-être, à cause du soupçon dont je viens de parler, M. le président voulut le garder en otage
se pas que la personnalité au théâtre puisse aller plus loin que nous venons de le voir dans cette aventure. Aujourd’hui on s’y p
bituaient à ne plus la prendre qu’en pitié. Pour prix du succès qu’il venait de lui devoir, il la releva tout à fait. Afin qu’ell
oire. Y essaya-t-il d’abord ses pièces courantes, les farces, dont je viens de parler ? C’est probable. Je croirais même qu’il y
t leur tapage. Il n’est pas comptable des coups qu’il reçoit. Ils lui viennent de la farce italienne. Ce n’est qu’un emprunt qu’il
ncore un détail des mœurs de l’ancienne Italie ; comme le reste, elle vient de Rome, où l’esclave, dès qu’il était affranchi, de
st pas, il s’en faut, la « boite aux parfums », dites-vous qu’elle ne vient pas de Molière, et que c’est d’une fenêtre de Naples ou
tilhommières de Bretagne et autres, et je crois bien que Molière, qui venait de Bretagne quand il parla si bien de fausse monnaie
peut instruire, écoutons-la parler. Un des personnages de L’Impromptu vient de se moquer, en pleine Galerie du Palais, de Molièr
es attaques des savantasses dont Trissotin devait le venger, le temps viendra de faire imprimer mes remarques sur les pièces que j
a pièce. Boursault ne voulait pas qu’on pût douter que tous les coups venaient de lui ! Molière en douta ; sous ce seul nom, il en
ion particulière où se reflète quelque chose de la notation dont nous venons de parler, son texte même survit. Pour le Misanthrop
ffe ? N’y faut-il qu’un f, ou bien en faut-il mettre deux, comme nous venons de le faire ? Cette question, qui ne devrait pas en
epuis longtemps Molière songeait à cette pièce, dont l’idée lui était venue de Plaute, en passant, pour s’y rajeunir et le tente
té jouée, presque subrepticement ; mais, le lendemain, un ordre était venu de M. de Lamoignon, pour qu’on le suspendît, et depu
ant plusieurs mois, éloigné du théâtre. Il s’est rengagé pourtant, il vient de nous le dire, mais il faut que quelqu’un paye ce
n dit, ou ne portait pas. Il en tint compte, lorsqu’il crut le moment venu de refaire la pièce, qu’il avait eu si bien le temps
c réellement, ni la force qui naît de la maturité, ni la cohésion qui vient de la force. Tous les éléments étaient pourtant dans
ute l’Europe, c’est celui que don Francisco de Mascarhenas avait fait venir de Macao à Goa, et de cette ville à Lisbonne, dans l
ieutenant-criminel en avait ; ceux d’Harpagon, efflanqués et affamés, viennent de son écurie, et c’est de son service aussi que maî
t Boileau, on s’étonnera moins, et l’on tiendra pour vrai ce que nous venons de lire. C’est dans une pauvre petite chambre, louée
eur, en l’accompagnant de quelques notes qui compléteront ce que nous venons de dire. Aujourd’hui, septième jour du mois d’août
pas. C’est, disent les uns, quelque poète, qui a voulu se faire bien venir de Molière, directeur de théâtre, pour quelque tragé
aquelle on a tant cherché et l’on cherche tant encore, lui était donc venue de son grand-oncle ! C’est fort simple, comme tout c
fleurs manquaient un peu, après de si nombreuses moissons. L’idée me vint de tirer parti de ce que les récoltes des nouveaux c
oûte une paix profonde… La tradition veut que l’on prononce comme je viens de ponctuer, c’est-à-dire que l’on arrête tout net l
moins de peine, que l’inappréciable document que la Comédie Française vient de tirer de ses archives, le Registre du comédien La
ue le haut de sa cornette allait décrocher les étoiles que sa lunette venait de lorgner. C’était le pédantisme même, avec tous le
béissez ! Or, croyez qu’il est fier d’avoir si bien parlé ! Ce qu’il vient de dire est mot pour mot dans le Sertorius de Cornei
rétexte d’épurer la correspondance de son père, résume ainsi ce qu’on vient de lire : « Montfleury......accuse Molière d’avoir é
50 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
e valets. Le rôle de Gros-Réné fut même écrit exprès pour Duparc, qui venait de se joindre à la troupe. Il lui donna ce nom de Gr
s de son mariage... On peut le dire, les trois années (1658-1661) qui viennent de s’écouler depuis son retour à Paris, furent les m
... Molière gardait le silence. Mais le roi, qu’en pensait-il ? Il ne venait de réponse de nul côté, et l’on commençait à être fo
ants, âmes douces et bénignes, semaient, à petit bruit, le poison. Il venait de s’imprimer un livre terrible, dit Grimarest, dont
ns-nous au temps : les bûchers n’étaient pas tous éteints encore ; on venait de brûler vif en grève le normand Sinron Morin, pour
le entière le courut voir, et la Raisin, en une seule fois, tant il y vint de monde, fit plus de mille écus. Molière, un peu ma
e fais grâce à ce maraud-là, en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vo
En effet le mot d’Alceste : Hors qu’un commandement exprès du roi ne vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Et
s années plus tard, écrivait d’Angleterre, où il était en exil : « Je viens de lire le Tartuffe de Molière. Je ne sais comment o
en était aperçu, il se fit un effort et cacha par un ris forcé ce qui venait de lui arriver. Quand la pièce fut finie, il prit
ère : « Voici, dit-il, du changement. » Baron, ayant vu le sang qu’il venait de rendre, s’écria avec frayeur. « Ne vous épouvante
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
ntreprennent plus pareille extravagance. Mascarille, mon pere, Que je viens de trouver, sait toute notre affaire. Mascarille. Il
le plus grand effet sur le théâtre. Examinons toutes celles dont nous venons de parler, & les exemples que nos bons Auteurs n
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
par des demi-teintes, & des nuances seulement. D’après ce que je viens de dire sur la préférence qu’on doit accorder aux ca
meur aujourd’hui de me réjouir ; & l’heureux accommodement que je viens de terminer, nous doit inspirer à tous de la gaieté.
53 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
onne à son amant une boîte d’or, dans laquelle est une lettre qu’elle vient de lui écrire ; elle fait accroire à son tuteur que
cessaires à la danse et à la comédie, et d’artisans de toutes sortes, venus de Paris. « Le ciel même sembla favoriser les dessei
suivant d’Iphitas, le sieur Prévot. Loret, dans la lettre dont nous venons de rapporter un passage, au sujet de la première jou
la princesse, pour s’épargner la confusion où la jette l’aveu qu’elle vient de faire, lui demande du temps d’y penser, et la piè
emmes de la princesse s’entretiennent de la scène du chant, dont nous venons de parler, et qui s’est passée dans l’entracte ; l’é
était découvert lorsque Loret en parla, car après le passage que nous venons de rapporter, cet auteur poursuit ainsi.       Le r
ais. Terminons cet article par les deux passages de Robinet dont nous venons de parler. Lettre du 6 mai 1666.       Vous aurez p
où est Lucinde, et apprend qu’elle est chez son mari, que tout ce qui vient de se passer est réel, et que sa fille est mariée da
s ce mois, l’auteur rapporte cette même situation que M. de Riccoboni vient de détailler, et dont il fait si judicieusement sent
54 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [59, p. 96-98] »
ré parfait qu’il tâche de trouver ; Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire, Il plaît à tout le monde et ne saurait se
55 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [23, p. 51] »
n de 1855, elle est placée à la vingt-une place. 169. Cette anecdote vient de l’ouvrage de La Serre, Les mémoires sur la vie et
56 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
ous ; il est déjà le Soleil ; nec pluribus impar, dit la devise qu’il vient de prendre, au carrousel des Tuileries. La cour auto
s valet de chambre ! Il était donc de bonne famille ? — La charge lui vient de son père, qui était en outre tapissier. — Et ce p
diable ! Est-ce que ?… — Hé ! hé ! — Diantre ! Mais vous disiez qu’il vient de l’épouser ? — En janvier dernier… Entre nous, ce
gorge chaude ; oui, mais repart le compère à qui cet ennemi des maris vient de confier son prochain mariage, Qui rit d’autrui D
ant, sa rencontre avec Horace et leur assaut de révérences ; puis, la venue de certaine vieille, envoyée par le jeune homme pour
cette histoire, dans une autre conférence sur le chef-d’œuvre que je viens de nommer. Aujourd’hui, nous causons de l’École des
, il était en pleine lune de miel. Cette première infidélité, dont je viens de parler, ne date que de la Princesse d’Élide, qui
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
s imaginer qu’un très petit nombre seulement ont les qualités dont je viens de parler. Je donne la préférence à la cinquieme sce
sant & en faisant desirer d’autres scenes. Telle est celle que je viens de citer, & que j’ai promis de rapporter lorsque
e, & à motiver par-là leur départ précipité. Ajoutons à ce que je viens de dire une remarque bien judicieuse de M. de Voltai
58 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
ans les Fourberies de Scapin. Nos lecteurs à qui le petit écrit qu’on vient de citer, peut-être inconnu, seront bien aises de tr
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
ah ! Sire, Je ne redirai point ce que ces insolents Sur votre Majesté viennent de faire entendre. Parle, dit le Sultan, & ne me
olera. Le Comte, qui protege l’Opéra, a souffert de l’article qu’on vient de lire ; mais il prend sa revanche sur la Comédie I
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
due, & qu’on encourt l’indignation publique. Des exemples que je viens de rapporter, le premier n’est que déplacé sur le th
hacun la tient fort mal. Badzin. Chacun la tient fort mal.Oui, je la viens de voir. Marille. Elle doit prendre encore un laveme
61 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
un degré supérieur. Quelque curieux que soient les articles dont nous venons de parler, le lecteur en trouvera dans ce volume bea
sur la vie de M. Molière. « [*]Je ne ferai point comme ceux dont on vient de parler, qui louent et qui blâment excessivement,
t porter pareille somme, Pour subvenir à leur besoin, Puisqu’ils sont venus de si loin, Avecque comédie et danse, Donner du plai
cordent sa demande. Ribercourt jouit peu de temps de l’avantage qu’il vient de remporter. Épicarie lui remet une lettre, par laq
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. De ce que nous entendons par caractere. » pp. 259-260
j’ai cherché pendant long-temps ce que signifioit la tirade que nous venons de citer ; à la fin je pense l’avoir deviné. L’Auteu
63 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [43, p. 73-77] »
s grâce entière à ce maraud, en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. Ma foi, Molière, je vous suis obligé 
64 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
l’esprit et la disposition générale des comédies régulières que nous venons de nommer. La plus ancienne de ces pièces, L’École d
ar le public ; cette pièce est encore moins gaie que celles dont nous venons de parler ; l’intrigue est encore moins animée, ou p
ntièrement. Tout ce qui dans cette pièce manque de finesse et de goût vient de l’auteur français, et contraste avec l’esprit dél
ui-même est esclave des préjugés nationaux. Les deux drames dont nous venons de parler produisirent, lorsqu’ils parurent, une sen
oujours le parterre dans un véritable état de guerre6. Tout ce que je viens de dire semble indiquer que le public français,* lor
65 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
et calomniateur. Zucca, qui a peur, lui demande pardon et avoue qu’il vient de mentir. Ramené par les questions de Flaminio, il
es. » ACTE QUATRIÈME. scène i. Lisette, Flaminio, Brusco. Lisette vient de la part de Virginia prier Flaminio de ne souffrir
ôt mari, père ou tuteur ; il ressemble, sous ce rapport, aux derniers venus de la comédie de l’art, à Beltrame, à Trufaldin. D’o
66 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
ris. On dit qu’il y a quelque brouillerie dans le ménage, et que cela vient de la jalousie qu’elle a d’une jeune fille de Madame
rt de Marie-Thérèse. Je m’arrête ici. Par les dernières paroles qu’on vient de lire, j’ai déjà passé les bornes de mon sujet. Je
e Maintenon ; mais elle la place dans une situation romantique : elle venait de se dépouiller de sa mante et de son écharpe pour
67 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
r à mes précédentes remarques. Indépendamment du Commentaire, dont je viens de donner une idée, chaque pièce est suivie d’une No
la douleur te force à confesser la certitude des coups de bâton qu’il vient de recevoir. Mais qu’est-il besoin d’exemples si nom
u l’indignation, ne sauraient suffire : il faut donc un châtiment qui vienne de plus haut. C’est ici le cas de la machine, c’est-
r ne pas les craindre. J’aurais peint avec plaisir le tableau dont je viens de donner une esquisse légère ; mais je ne dois pas
sa traduction ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges qu’il venait de recevoir, ne voulut plus la lire, et fit entendre
lui offrit, dit-on, la place de secrétaire de ses commandements, que venait de laisser vacante la mort de Sarrasin35 ; et il ne
la carrière où il devait s’illustrer ; sa passion pour la gloire, qui venait de lui faire goûter ses premières faveurs ; le scrup
itien, le premier rendant à l’autre dans ses vers l’immortalité qu’il venait de recevoir de lui sur la toile. En 1658, Molière se
r l’avoir observé, qu’il se crut en droit de dire : Il a un lutin qui vient de temps en temps lui souffler d’excellents vers, et
abbé Galiani, dans le recueil de ses lettres à madame d’Épinay, qu’on vient de publier récemment, fait éclater à ce sujet la plu
’avouer notre avantage, et ne le niant que pour le mieux reconnaître, venait de rendre au génie de Molière et à la gloire de la F
se lui manquait. Ne cherchez, dit-il à ceux qui l’accompagnaient ; je viens de Gignac, je vais à Lavagnac, je vois le clocher de
r l’auteur, qu’il ne fréquentait pas encore, et sur la pièce, dont il venait de Voir la représentation. 78. C’est ainsi que L. R
décédé sans avoir reçu le sacrement de confession dans un temps où il venait de jouer la comédie, monsieur le curé de Saint-Eusta
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
déja parlé. On amene à l’avare Severin un homme, en lui disant qu’on vient de le trouver : il croit qu’on lui parle du voleur q
voir employé les idées particulieres des différents Auteurs dont nous venons de parler, sans avoir emprunté auparavant d’eux des
voisin qui fait profession de droiture & de probité ? Ce que vous venez de me dire dément tout-à-fait votre vertu. Si je sui
paré avec succès de ce que Moliere a négligé.   La réflexion que nous venons de faire nous amene naturellement à comparer le cara
69 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
ui n’existait plus, contre la marquise de Rambouillet qui, selon eux, venait de changer son nom en celui d’Arthénice qu’elle port
t des Celtes, comme le gaulois, et elle n’avait pas rebuté les Francs venus de la Germanie : les autres langues de l’Europe ne l
aire de prier Dieu et de jouer. » 50. Pecke et Peckin me paraissent venir de pécore, qui vient de pecus, troupeau. 51. M. Pet
de jouer. » 50. Pecke et Peckin me paraissent venir de pécore, qui vient de pecus, troupeau. 51. M. Petitot dit que « si les
70 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
1666, Molière devait être fort en peine. — Il relevait de maladie et venait de se brouiller avec sa femme, qu’il aimait. Mais en
sies florissantes, Alceste, dit M. du Boulan, Fauteur du livre que je viens de désigner, a été l’expression, mieux que cela, « l
ceste n’a guère de ces délicatesses. Il n’est pas de bonne humeur, il vient de souhaiter à Oronte une chute à se casser le nez,
le confesse, et naturellement, c’est en l’injuriant encore, comme il vient de s’injurier lui-même : Ah ! que vous savez bien i
dans mes critiques ? Pas plus loin, certes, qu’un allié précieux que vient de m’envoyer inopinément la Providence, et que M. de
71 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
ns les « roulemens d’yeux extravagans » et les « larmes niaises » qui viennent de « faire rire tout le monde. » A l’époque où ce ta
e habituelle, a eu devant les yeux deux au moins des portraits que je viens de signaler ou les gravures qui en avaient été faite
Zélinde nous renseigne encore : « A peine les personnes dont je vous viens de parler étoient-elles sorties, que j’ai ouï la voi
mais des aumônes ordinaires. » En voici une preuve assez curieuse. Il venait de jeter une pièce de monnaie à un mendiant, lorsqu’
ien choisir ses mots. Admettons qu’un ou deux traits du passage qu’on vient de lire soient grossis par maladresse, mais tenons l
t tendu ; cela prouverait que la simplicité tragique est, comme je le viens de dire, chose assez contestable, puisque celui-là m
72 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [29, p. 54-59] »
taient déjà dans l’eau, et les repêchèrent. Indignés du secours qu’on venait de leur donner, ils mettent l’épée à la main, couren
73 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
pour le foyer public de leur théâtre. Cela confirme bien ce que nous venons de dire des dispositions d’esprit d’une partie de la
toujours été hautement favorable à Molière. En 1828, deux revues qui venaient de se fonder à Londres, la Foreign Quarterly Review
le dut avoir un caractère marqué de libre esprit. Le groupe dont nous venons de citer les noms se distingua en effet par une indé
n en croit une anecdote qui est comme la contre-partie de celle qu’on vient de lire et que rapporte Grimarest : à l’époque où il
issier, valet de chambre du roi, même après la renonciation dont nous venons de parler. Cela se voit dans plusieurs actes et cont
emps. Son chef-d’œuvre c’était le personnage d’Épicharis, à qui Néron  venait de faire donner la question. »Ce personnage appartie
Théâtre était donc bien fait pour lui, et les quatre pièces que nous venons de citer furent, selon toute apparence, représentées
le11. Il avait donc un certain âge. La pièce de comptabilité que nous venons de reproduire nous donne trois stations des comédien
n à peu de temps de là. Il serait vraiment extraordinaire, si Molière venait de remporter cette grande victoire de L’Étourdi, que
s le pressaient de continuer ses recherches : À quoi bon ? dit-il, je viens de Chignac, je suis à Lavagnac, j’aperçois le cloche
x gémissements. Molière est obligé d’appliquer un remède au mal qu’il vient de créer. Le milicien, continue-t-il. est resté ferm
et voyons quels sont les résultats de cette période de douze ans qui vient de s’accomplir. Cette longue odyssée provinciale fut
t pourquoi vous devez, pour ajouter quelque chose de beau à ce que je viens de dire, lire comme lui tous les livres satiriques,
lupart des biographes déclarent aussi glorieuse que celle que Molière  venait de remporter sur le ridicule : on lit dans le Menagi
en fait de marquer par deux triomphes éclatants les deux années qu’il venait de passer à Paris. Il est douteux que la troupe fût
t elle ne nomme pas ce vieux médecin. On a vu, par l’extrait que nous venons de donner des Mémoires de Mme Campan, que ce dernier
r : « Monsieur, prenez près de moi pour ce soir la place de celui qui vient de vous offenser et que l’expression de mon méconten
e sa vie. CHAPITRE VII. INTÉRIEUR DE MOLIÈRE ; SON MARIAGE Nous venons de toucher par ces dernières observations à l’histoi
unes et blesser les autres. Chapelle en parlait bien à son aise. Nous venons de citer la dernière partie de cette lettre curieuse
pouse. L’argument ne vaut rien. En admettant que les dix mille livres vinssent de Madeleine, il est fort possible que l’aînée des B
te, que reproduire en vers les accusations, les excitations dont nous venons de donner quelques extraits en prose. On peut signal
randes actions ; mais lui déclare que, rassuré par la passion dont il vient de recevoir l’aveu, il le regarde à présent comme un
ante. La bourgeoisie suivait, comme d’ordinaire, les exemples qui lui venaient de plus haut. Quant au peuple parisien, c’était touj
ORI À VERSAILLES Pendant cette année théâtrale si bien remplie qui vient de s’écouler (Pâques 1664 - Pâques 1665), il y a que
sied pas mal et qu’il a bonne grâce à tousser. Oui, c’est lui, je le viens de connaître à sa toux, dit Le Boulanger de Chaluss
plume au moment où sa vie était si troublée et assombrie. La maladie venait de lui livrer un redoutable assaut. Son œuvre favori
er présenter à Louis XIV, sous les murs de Lille, le placet dont nous  venons de citer quelques lignes et qui se terminait par ces
tisans qui tous d’une voix répétaient tant bien que mal ce que le roi venait de dire à l’avantage de la pièce. « Cet homme-là est
au talent qui n’a pas fait ses preuves ; aussi, lorsque le moment fut venu de les passer par les verges de la satire, il n’y ma
année, mais celle que l’on voudrait rencontrer lorsque le moment est venu de  choisir sérieusement une compagne de sa vie. Chry
n était aperçu, il se fit un effort et cacha par un rire forcé ce qui venait de lui arriver. Quand la pièce fut finie, il prit sa
ère : « Voici, dit-il, du changement. » Baron, ayant vu le sang qu’il venait de rendre, s’écria avec frayeur. « Ne vous épouvante
décédé sans avoir reçu le sacrement de confession dans un temps où il venait de  représenter la comédie, monsieur le curé de Saint
ue sorte dans la soirée. Cette ordonnance de police de 1609, que nous venons de  mentionner, fait très expresse défense aux comédi
rouvant sur la place du Palais-Royal, il aperçut deux de ses amis qui venaient de mettre l’épée à la main l’un contre l’autre. Il v
ette belle scène du Malade imaginaire (la leçon de chant) que Célinde vient de nous citer, poursuivit Bérélie, n’a-t-elle pas to
ention favorable, il lui annonce la pièce qui doit suivre celle qu’on vient de représenter, et l’invite à la venir voir par quel
un titre assez humble, probablement moucheur de chandelles, comme on vient de le voir, dans la troupe de Molière, alors à Lyon.
74 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
; aux conversations que Gassendi conduisoit avec les personnes que je viens de nommer. Et comme ce même Cyrano étoit très-avide
ez pour moi, Eh bien ! lui dit Moliere, c’est une chose faite, le Roi vient de m’accorder un ordre pour vous ôter de la Troupe o
t tâche de justifier cette femme par la bouche même du mari, comme on vient de voir, l’Historien de la Moliere dit les choses pl
grace entiere à ce maraut-là en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. Ma foi, Moliere, dit-il encore, je vo
elle fut joüée, personne ne la faisoit mieux valoir que celui dont je viens de parler, & qui pourtant auroit pû s’en fâcher,
on veut que les Acteurs étant prêts à commencer lorsque les defenses vinrent de la part du premier President Moliere s’avança sur
voir aujourd’hui l’honneur de vous representer le Tartufe ; mais nous venons de recevoir un Ordre de Mr. le premier President qui
de la déclamation. Il avoit contracté par habitude le hoquet dont je viens de parler : Dans les commencemens qu’il monta sur le
nnages & Bensserade de chagrin, avoit fait la plaisanterie que je viens de citer. Moliere pour s’en vanger d’une maniere nou
nt comme à ce qu’elle representoit. La querelle entre ces deux Poëtes vint de ce que Moliere s’étoit ingeré de faire les vers p
ais il divertissoit tour à tour les trois sortes de personnes dont je viens de parler ; & comme ils voyoient ensemble ses Ou
75 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
Dans le temps à peu près que l’Anglais exécutait l’entreprise dont je viens de parler, une femme hardie mettait Molière en mélod
s-Philippe, lorsque l’on élevait un monument public à Molière, l’idée vint de placer la statue de Bourdaloue sur la fontaine de
r royale ni la faveur du public ne pouvaient rien. En 1662, lorsqu’il venait de faire représenter Sganarelle et l’École des Maris
ir des choses et non pas des mots, et que la plupart des contrariétés viennent de ne se pas entendre et d’envelopper dans un même m
nner toujours une pièce comique ou bouffonne après la tragédie : « On vient de jouer Polyeucte ; le théâtre change ; on joue l’É
ux sentiments que la vertu de Pauline aurait commencé d’inspirer ? On vient de représenter Athalie. J’ai vu la maison du Seigneu
été mise en circulation par Voltaire. Beaucoup de sottises courantes viennent de là ! « On peut hardiment avancer, disait l’auteur
uvrir la bouche devant Louis XIV sans se rappeler que toute puissance vient de Dieu et que les rois sont les ministres de Dieu p
ds admirable, à tant d’égards funeste ; et la brève esquisse que l’on vient de lire suffit pour démontrer la frivolité ou la mau
ourdaloue. Entrant dans son sujet, le jésuite tint l’engagement qu’il venait de contracter envers ses auditeurs, ou plutôt envers
u vrai dévot. J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. Il ne tient pas un seul moment l’au
à parlé, et qui contient tous les autres, s’attaque au passage que je viens de citer. Il prend soin d’abord d’en élaguer, sans r
n, surtout en colère. Qu’y a-t-il ? Un grand péril de l’Église qu’ils viennent de découvrir à l’instant : on veut perdre la religio
l’intérêt de Dieu et de s’opposer à l’offense de Dieu. Si le scandale vient de ceux qui nous sont unis par les liens de la chair
oncer ; et ils ne doivent point s’en plaindre, puisque si le scandale vient de vous-mêmes, il faut vous haïr et vous renoncer vo
la Muse comique. A une coquette ou plutôt à une mondaine telle que je viens de la décrire, Célimène si l’on veut, mais Célimène
76 (1910) Rousseau contre Molière
ts sont émoussés pour la render plus théâtrale. La même scène dont je viens de parler en fournit la preuve. On y voit Alceste te
mme Néron est un « monstre naissant ». Alceste est un misanthrope qui vient de naître ? Il a des candeurs que j’ai indiquées et
te presque durement, du même coup, en louant Oronte, alors qu’Alceste vient de tâcher de faire honte à Philinte de son manque de
première de « le Philinte de Molière ou la Suite du Misanthrope » ne vient pas de la fameuse note de Rousseau. Elle vient des réfle
n pas la note de Rousseau : « Je ne doute point que sur l’idée que je viens de proposer un homme de génie ne pût faire un nouvea
ez Alceste ? dit le commissaire. — Oui. — Eh bien, je vous arrête, Je viens de votre maison de campagne, ayant décret contre vou
ocureur. » L’avocat n’en sait pas plus. Alceste lui-même apparaît. Il vient de chez le procureur ; il y a trouvé le procureur et
ez les circonstances. Quand Rousseau écrit la Lettre à d’Alembert, il vient de jouer Alceste pendant un an. Misanthrope, il a ét
t spécialement odieux à Rousseau et devait l’être, et c’est à quoi je viens de m’appliquer. Pour ce qui est de ce point particul
u vrai dévot. J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. » Mais sa véritable raison, à mon a
Ainsi me paraît avoir pensé Voltaire, beaucoup plus rapidement que je viens de l’analyser, quand il a écrit ce jugement sur Moli
milieu de Paris, une comédie où, dans l’appartement d’un oncle qu’on vient de voir expirer, son neveu, l’honnête homme de la pi
et fortifier chez les jeunes filles, comme déjà l’indique ce que nous venons de dire, c’est le désir de plaire. Ce désir est asse
l rattache au moins à ce programme avec une affirmation énergique. Il vient de parler des devoirs et des qualités d’une maîtress
ue de la bonne qui est celle qu’il a décrite dans le passage que nous venons de transcrire : « Les couvents sont de véritables éc
— Sans doute, mais surtout par une nécessité de son argumentation. Il vient de dire ce que je viens de transcrire et que, par pa
ut par une nécessité de son argumentation. Il vient de dire ce que je viens de transcrire et que, par parenthèse, on omet toujou
ant que c’est la base même de son raisonnement. Or pour que ce que je viens de transcrire soit probant, il faut qu’il ne soit pa
la nature, tantôt parmi ceux qui la contrarient. Dans le texte que je viens de transcrire, celui qui est dans le sens de la natu
stinct social lui-même qu’il faut diminuer en vous, et la vérité vous viendra de ceux-là mêmes qui se seront le plus dérobés au co
« La peste de ta chute… » s’adresse directement à Philinte. Philinte vient de dire : « La chute en est jolie… » Alceste lui dit
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
oit le champ le plus commode pour faire passer une action comique. Je viens de leur prouver qu’ils pouvoient introduire, faire p
ndonner la nature. Ce n’est pas sans fondement que j’avance ce que je viens de dire. J’ai fait cette précieuse découverte dans u
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
pauvreté ne m’a paru un fardeau si insupportable que présentement. Je viens de voir par hasard dans ce voisinage une jeune fille
r par hasard dans ce voisinage une jeune fille qui pleure sa mere qui vient de mourir ; elle est près du corps, & elle n’a n
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
ut le monde, puisque l’amour est de tous les états. D’après ce que je viens de dire, l’on va me croire le partisan, l’enthousias
ns ceux de mon amant un autre ciel me luit. Ah ! convenez que Lucile vient de faire un joli madrigal : que vous semble de la po
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
E. Hippolyte. Oui, traître, c’est ainsi que tu me rends service ! Je viens de tout entendre, & vois ton artifice : A moins
s donc dire ? Antiphon. Ce que je veux dire ! que le beau coup que tu viens de faire me réduit à m’aller pendre sans balancer. Q
81 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
oits merveilleux ? Despréaux n’ignoroit pas toutes les raisons que je viens de dire : mais en qualité de Censeur rigide, il voul
tems Organiste de l’Eglise de saint André des Arcs. La mort (comme on vient de le dire) enleva Moliere presque à la sortie du th
82 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
rmis à cette occasion de raconter un fait qu’une circonstance récente vient de rajeunir. En tête de la seconde édition du Tartuf
Martin alla les emprunter en 1837, pour cette même édition, dont nous venons de citer une note, et les donna comme une trouvaille
it égarée. « Ne cherchez pas, dit-il à ceux qui l’accompagnaient ; je viens de Gignac, je suis à Lavagnac, j’aperçois le clocher
urnés, faisaient souvent autant et plus de plaisir que la pièce qu’on venait de jouer ». C’est donc à une de ces farces dont Moli
ière, sur l’accueil fait aux nouveaux acteurs, sur l’autorisation qui venait de leur être accordée, silence complet. Si quelqu’un
oignages contemporains sont d’accord sur ce point. La Grange et Vinot viennent de nous dire que « la manière dont il s’acquitta du
ention favorable, il lui annonce la pièce qui doit suivre celle qu’on vient de représenter, et l’invite à la venir voir par quel
excite l’Avertissement placé en tête de cette production ! « Le temps viendra de faire imprimer mes remarques sur les pièces que j
t et faisant si rigoureusement observer l’étiquette. « Le Roi ne doit venir de deux heures », dit Molière au commencement de sa
é parfait qu’il tâche de trouver ; Et, toujours mécontent de ce qu’il vient de faire, Il plaît à tout le monde et ne saurait se
gnant qu’elle ne fût pas assez belle pour soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte
la rate, le dernier le poumon. Personne n’ignore que Valot, que nous venons de nommer, assassina la reine d’Angleterre en lui ad
fait pour elle, semble l’enfermer une allusion à l’anecdote que nous venons de rapporter : Il faut qu’elle ait été charmante, P
u génie de l’auteur vieilli de Cinna. « Il a un lutin, disait-il, qui vient de temps en temps lui souffler d’excellents vers, et
Alexandre, que Molière avait fait monter avec beaucoup de soin et qui venait de réussir sur son théâtre. La Grange dit à cette oc
ût être, ne le parut pas encore assez à l’auteur de la fable que nous venons de réfuter, parce qu’il voyait chaque jour se reprod
incipalement celle des quatre premiers actes du Tartuffe. Ce que nous venons de dire des vers de Molière, nous pouvons le répéter
e trouvant sur la place du Palais-Royal, aperçut deux de ses amis qui venaient de mettre l’épée à la main l’un contre l’autre. Il s
qu’on l’a défendu. Il n’en est pas de même de La Critique dont nous venons de parler. Après avoir parodié de la manière la plus
suffisante de l’étrange assertion renfermée dans les lignes que nous venons de rapporter ; car il n’est personne, nous l’espéron
onnête homme, Mais il est dangereux avec lui d’être un fat. Celui-ci venait de se venger d’un rimeur qui se croyait poète ; il m
mort sans avoir reçu le sacrement de confession dans un moment où il venait de jouer la comédie. L’archevêque ne s’exécuta qu’à
marades de cet hérétique sentirent toute l’étendue de la perte qu’ils venaient de faire. Leur théâtre demeura formé pendant sept jo
âche difficile de remplacer Molière dans le rôle d’Argan, comme Baron venait de le remplacer dans celui d’Alceste. Nous devons co
emonter sur la scène peu de jours après la perte qu’elle et la France venaient de faire. Ce révoltant mépris de toutes les convenan
e Guérin, et fit valoir à ses yeux le brevet de vertu que le Châtelet venait de lui octroyer. Cet acteur, qui regardait comme une
s et insuccès nouveau. Enfin, en 1838, cette idée, conçue d’abord, on vient de le voir, par un Comédien Français, dut à l’esprit
s en le citant nous ignorions quel en était l’auteur. M. Paul Lacroix vient de découvrir une sorte de réponse en vers, également
lière date son placet à son tour par ce qu’il dit de la lecture qu’il vient de faire de sa pièce au légat. Le cardinal Chigi, ne
83 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
le morceau : Répands, charmante nuit... et les airs des musiciens, vient de la sérénade de Pourceaugnac. La 8e entrée : Les
ns que le Pourceaugnac joué à Chambord a contenu l’intermède que nous venons de transcrire. Cet intermède nous semble meilleur co
c en faisant apparaître, dans une loge de premier rang, l’artiste qui venait de remplir le rôle de Pourceaugnac, et il invitait l
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
pare la galerie dont il faisoit l’ornement. Le tableau que Sganarelle vient de nous retracer est extrêmement joli ; il sentira t
a d’adresse dangereuse chez nos Martons & nos Frontins. Ce que je viens de dire pour prouver que la comédie ne corrompt poin
ort honnête emploi, Et je n’attendois pas l’honneur que je reçois. Il vient de m’ordonner de disposer votre ame A devenir sensib
des Lettres : son génie lui fait concevoir l’art du Poëte comme nous venons de le définir. Il voit cependant les Auteurs les plu
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
évenir des personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer, pourroient l’altérer dans leur récit, &
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
, en acquittant, pour ainsi dire, la parole des trois poëtes que nous venons de citer, s’il se fût borné, dans sa Poétique, à tra
naturels, & à qui l’art ait découvert tous les secrets dont nous venons de parler, il sera encore loin de la perfection, s’i
87 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
vous en serez surprise. » Le 21 août, quatorze jours après ce qu’on vient de lire, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Les
qu’elle leur fait. J’ai composé un long chapitre pour dire ce que je viens de résumer en dix lignes ; mais ce chapitre est un a
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
désormais toutes les situations. LE TRAITRE PUNI. Acte III. Don Juan vient de s’unir pour la vie à Léonor. Il prouve qu’il est
s remis. Dorante. A cet heureux projet je n’osois pas m’attendre ; Il vient de vous. Que j’ai de graces à vous rendre ! Ma sœur,
t, voyez-vous. Mad. Agathe. Ça ne se peut pas, Monsieur le Bailli, je viens de le voir. Le Bailli. Vous avez rêvé cela, Madame A
vars du nez : baillons-nous de garde. . . . . . . . . . Ce que nous venons de lire nous rappelle aisément la scene dans laquell
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phe a porté ce toast : « Au Bon Sens génial, au grand Rire cruel Qui vient de Rabelais et de Pantagruel. À la Justice, au Vrai
e : revue mensuelle, tome I, nº 11, 1er février 1880, p. 335-338. Je viens de relire le Tartuffe, et ma principale préoccupatio
qui a effrayé le traducteur. Aussi ajoute-t-il à la traduction qu’on vient de lire, ces paroles peu modestes : « Nous sommes (e
coquettement édité par Dentu en 1863, fut rapidement épuisé. L’auteur venait de faire représenter à l’Odéon (15 janvier 1863) un
ant Molière » (1858) ; dans cette précieuse Revue des provinces qu’il venait de fonder, « Les Poquelin à Bordeaux » (1865) et « L
qui n’est déjà plus un inconnu pour les lecteurs du Moliériste et qui vient de joindre à son intéressant article sur « Les Ennem
que M. Alberdingk Thym a largement mérité par l’éminent service qu’il vient de rendre au théâtre hollandais. Il a enrichi le rép
t son visage. C’était une balle. Il relève la tête, voit un Arabe qui venait de le manquer et qui rechargeait son arme ; il saisi
ce de cause, l’absoudre du crime d’avoir chassé Molière du théâtre où venaient de se produire L’Étourdi, Le Dépit amoureux, Les Pré
romptu de Versailles, en réponse au Portrait du peintre, que celui-ci venait de lancer contre lui. On y discute sur la façon dont
cute sur la façon dont le Maître devrait riposter au coup droit qu’on vient de lui porter : MADEMOISELLE DE BRIE. Ma foi, j’aur
ale. Racine était à Paris lorsqu’il écrivait à l’abbé Levasseur qu’il venait de faire et de défaire le quatrième acte de sa tragé
90 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
ans, qui tous d’une voix répétaient, tant bien que mal, ce que le Roi venait de dire à l’avantage de la pièce. Cet homme-là est i
eil, fait éclater dix fois plus d’orgueil et de colère que ceux qu’il vient de gourmander. Plus loin, un simple artisan, un tail
ent aux paroles qui se rapportent plus directement à la pièce dont je viens de m’occuper moi-même ; et mon zèle prouvé pour la g
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
ge, & en lui faisant part du dessein qu’il a formé depuis peu. Il vient de voir une jeune personne fiancée à un paysan qu’el
saire. Il reconnoît enfin son valet, lui raconte le tour galant qu’il vient de jouer à sa cousine. Ils partent ensemble pour la
i à la premiere a voulu la violer le poignard sur la gorge, & qui vient de tuer son pere ? Goldoni est un grand homme ; il m
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
noble comique. Cependant, sans nous rétracter sur la justice que nous venons de rendre à cette comédie, nous sommes obligés, comm
 : Faut-il, Anselme, lui dit-il, que je prenne sérieusement ce que tu viens de dire, & crois-tu que, si je ne l’avois pris p
nte à la fin, & le spectateur s’en inquiete peu. Malgré ce que je viens de dire, convenons que nombre d’Auteurs auroient peu
93 (1871) Molière
grand et fort, Dont près de deux cents ans ont fait déjà le sort, Je viens de détacher une branche admirable, Choisie expressém
rracher le rire ou les larmes, d’intéresser et d’amuser tant de gens, venus de si loin et de côtes si opposés, avec tant d’ambit
ui un amuseur mieux fait pour le comprendre. En ce moment, le Mazarin venait de mourir, « raisonnablement chargé de la haine publ
94 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
était le prétendant de Julie de Rambouillet. La nomenclature que nous venons de parcourir, suffirait pour repousser les atteintes
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
changement. C’est, lui répondroit celui-ci, qu’un pere & un fils viennent de se reconnoître. L’étranger, réfléchissant là-dess
ur le ton larmoyant, peuvent comparer la suivante avec celle que nous venons de voir. Le sujet est le même : les premiers personn
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
si ce siecle n’eût eu qu’une seule troupe ! L’un des génies que nous venons de nommer l’auroit occupée ; les autres se seroient
eroient continuellement doublées sans le paroître jamais. Ce que nous venons de dire seroit presque inutile, si nous ne trouvions
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
pourtant. . . . . . . . . . . . . . . C’est à la Fontaine, comme on vient de le voir, que Moliere doit l’humeur goguenarde de
. La premiere nuit des noces se passa donc de la maniere que je vous viens de dire, & le mari fut assez sot pour n’employer
ubite qui l’oblige à se retirer, & l’on apprend aussi-tôt qu’elle vient de mettre au jour un enfant. Le Capitan, que cette a
98 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
grandes actions, mais lui déclare que, rassuré par la passion dont il vient de lui faire l’aveu, il le regarde à présent comme
ropre ; mais le mauvais usage a prévalu. D’après l’explication que je viens de donner, Boileau a fait rimer un mot avec lui-même
99 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
y trouve aussi des coq-à-l’âne (« Sais-tu d’où vient ce mot ? — Qu’il vienne de Villejuif ou d’Aubervilliers ») que l’on retrouve
s savantes (« Et je t’ai déjà dit d’où vient ce mot. — Ma foi ! Qu’il vienne de Chaillot, d’Auteuil ou de Pontoise… »). Le dessin
ui du vrai dévot et qu’il a employé deux actes entiers à préparer la venue de son scélérat ». Voilà qui est bien, mais sur ces
cour, soit au parterre. L’homme qui avait écrit le Misanthrope et qui venait de jouer le Tartuffe ne pouvait écrire Monsieur de P
u reste, pour être complet, disons un peu le contraire de ce que nous venons de dire (c’est la seule manière d’être complet) et f
e c’est une nécessité de son argumentation qu’il nie les médecins. Il vient de dire ce que j’ai transcrit, que les drogues sont
à Don Juan seul dans tout le théâtre de Molière (et si peu, comme on vient de le voir), que ce reproche d’avoir donné un tour g
faire la faute et la compenser par une beauté, par une perfection qui vient de lui, qui peut par exemple n’avoir pas d’unité d’a
la peur à se considérer comme la propriété de l’homme. Tout cela lui vient de la volonté de puissance et aussi de cet ancestral
n Juan. On le voit bien à ce que s’il aime par méchanceté, comme nous venons de le voir, la vue de la douleur des autres le ramèn
c’est déjà le libertin, mais le libertin jeune dont le libertinage ne vient pas de la méchanceté, ou dont la méchanceté est encore à
; très droit, très franc et assez bon et, comme il est très jeune, il vient de s’apercevoir que les hommes ne sont rien de tout
nte est devenue, chez Philinte, non seulement cette « sagesse » qu’il vient de décrire, mais une véritable bonté, ou, si l’on ve
il observe d’abord de qui il peut être vu, et selon découverte qu’il vient de faire, il se met à genoux et prie, ou il ne songe
sse : « Je ne remarque pas qu’il hante les églises ». À son frère qui vient de lui dire cette chose bien insignifiante : « Monsi
ire s’inflige l’état valétudinaire de peur de devenir malade. Ce vice vient de l’égoïsme et le renforce. Le malade imaginaire ve
son et l’autre diafoirise la sienne pour assainir sa demeure. Ce vice vient de la bêtise et la renforce Argan a épousé une infir
r vous quelque crédit. ce qui signifie : « La scène, telle que vous venez de la rapporter à mon mari, est très exacte ; j’aura
non pas la tirer en arrière ce qui amène ce terrible désaccord que je viens de dire. L’effrayant c’est qu’on ne sait pas si Agnè
et l’attitude de chien battu qu’a sa fille devant lui, encore qu’elle vienne de sa timidité naturelle, ne laisse pas de m’être un
la pauvreté. Après tout c’est le raisonnement de Mégadore, et Molière vient de lire la Marmite de Plaute. Vous n’êtes pas sans a
100 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
t des récits de guerre sur l’imagination féminine5 ; et un soldat qui vient de faire campagne a plus de chances qu’un écolier dé
ses premières peintures, afin de l’exciter à les surpasser. Molière y venait de lui-même par ce mécontentement de ses ouvrages, q
s faisons de la jeune fille. Elle n’a ni cette ingénuité d’Agnès, qui vient de l’ignorance, ni l’ingénuité trompeuse sous laquel
ère, selon une expression du temps, transportait tout son domestique, vient de cette conformité, que voilaient la pudeur de l’ho
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